Entre musiques de cour, musiques mystiques, musiques d’exil, musiques électroniques, le spectre est large et témoigne de la dynamique créative et de l’influence des musiques arabes traditionnelles ou contemporaines. En marge de l’exposition qui explorera ce patrimoine immensément varié, une programmation éclectique permettra de découvrir la musique urbaine égyptienne du Lefkha Project (7 avril), le mâqam-jazz d’Anouar Brahem (8 avril), ainsi qu’une plongée nocturne dans la musique gnawa, avec Aziz Sahmaoui (11 avril).